摘要
L’exotisme est à présent un concept de l’écriture transculturelle réglé par le principe du relativisme culturel dans le fond de la mondialisation. Mais au cours du dernier siècle, dans Les derniers jours de Pékin, écrit par Pierre Loti, il était considéré comme synonyme de colonialisme à cause de la description dénigrante de l’image de la Chine et des Chinois. En fait, cela ne tient compte que d’une partie de la vérité dans cette oeuvre. Dans ce présent article, on tente de démontrer, en y illustrant le double exostime, que cette oeuvre se présente comme un tournant de l’écriture sur l’image de la Chine et les Chinois dans la littérature fran?aise.
L'exotisme est à présent un concept de l'écriture transculturelle réglé par le principe du relativisme culturel dans le fond de la mondialisation. Mais au cours du demier siècle, dans Les derniers jours de Pékin, écrit par Pierre Loti, il était considéré comme synonyme de colonialisme de cause de la description dénigrante de l'image de la Chine et des Chinois. En fait, cela ne tient compte que d'une partie de la vérité dans cette oeuvre. Dans ce présent article, on tente de démontrer, en y illustrant le double exostime, que cette oeuvre se présente comme un toumant de l'écriture sur l'image de la Chine et les Chinois dans la littérature francaise.
出处
《法国研究》
2006年第3期18-21,共4页
ETUDES FRANÇAISES
基金
"暨南大学青年社会科学项目基金"资助。